Sénatoriales : Guylène Pantel candidate PS à sa propre succession
Guylène Pantel se porte candidate à sa propre succession aux sénatoriales. La sénatrice sortante met en avant son expérience acquise au sein du Palais du Luxembourg pour défendre une vision de la ruralité au Sénat.
Dernière ligne droite pour les quatre candidats aux élections sénatoriales en Lozère. Elles se tiennent ce dimanche 24 septembre. Parmi eux, Guylène Pantel. La sénatrice sortante se présente à sa propre succession, sous l’étiquette du PS. C’est la première fois que l’ancienne suppléante d’Alain Bertrand, à qui elle a succédé en 2020, brigue le poste de sénateur en tant que titulaire.
Plusieurs grands électeurs de Lozère portent sa candidature, tels que la présidente du Département, Sophie Pantel, le maire de Mende, Laurent Suau, ou encore Patricia Brémond, maire de Marvejols. Il y a aussi Carole Delga, la présidente de la région Occitanie. Elle était en déplacement en Lozère la semaine dernière.
Des soutiens que Guylène Pantel avait réunis jeudi 14 septembre dernier, à Mende, en marge du Salon des maires de Lozère. Tous ont souligné son pouvoir fédérateur et sa capacité à s’être constitué un réseau au sein Palais du Luxembourg, pour y porter la voix des élus lozériens.
Des points forts que met en avant Guylène Pantel elle-même, au nom de la défense de la ruralité :
Parmi les enjeux phares pour défendre la ruralité : la loi ZAN, pour Zéro Artificialisation Nette, que Guylène Pantel voit d’un mauvais œil :
Face à Guylène Pantel, deux autres candidats sont positionnés à gauche : Serge Gayssot (PCF-EELV) et Michelle Jacques (LFI-Génértion.s). A droite de l’échiquier politique, un seul candidat se présente : Alain Astruc.