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Sortie de résidence : « La vie rêvée des mouches », ode à la jouissance de la Cie Espère un peu

Ce vendredi 9 juin, la Cie Espère un peu présente au public les premières esquisses de sa dernière création « La vie rêvée des mouches ». Spectacle qui nous interroge sur notre rapport au corps, à la mort, et à la sensualité.

© Magnus Muhr _ Cie Espère un peu

Du 5 au 11 juin, le Théâtre de Mende a accueilli en résidence à l’Espace des Anges, la Cie Espère un peu, pour sa dernière création : « La vie rêvée des mouches ». Une pièce qui nous interroge sur notre propre rapport au corps, à la sensualité et à la mort, et de manière plus générale sur les notions de pur et d’impur.

Pour ce faire, quoi de mieux que de convoquer cet insecte peu ragoûtant pour beaucoup d’entre nous : la mouche. Tout part d’ailleurs de cette question : mais pourquoi n’aimons-nous pas les mouches ? Précisions de Pauline Labib-Lamour, scénariste et fondatrice de la Cie Espère un peu :

Pour nous mettre ainsi face à nos propres contradictions et autres turpitudes, « La vie rêvée des mouches » nous fait suivre l’histoire de trois mouches qui réfléchissent à comment pourrir la vie des humains. Pauline Labib-Lamour :

La Cie présentera en public, ce vendredi 9 juin à l’Espace des Anges de Mende, les premières esquisses de son travail. Elle vous donnez rendez-vous à 18h30. La soirée est sur entrée libre.

La vie rêvée des mouches / Cie Espère un peu

Ecriture et mise en scène : Pauline Labib-Lamour
Avec : Louise Grinberg, Nans Mérieux, Laurent Prache
Lumières et vidéo : Jeanne Guillot
Scénographie et costumes : Marjolaine Mansot
Régie générale : Edith Biscaro

La compagnie Espère un peu a été créée en 2019 à Nîmes. Elle nous parle d’une génération à l’affût (ou “à l’espère”, comme on dit en Camargue), qui se saisit du monde avec patience, et à laquelle on promet chaque jour l’Apocalypse, mais qui ne cesse pour autant de croire en l’avenir, de fabriquer des choses et de raconter des histoires ». Elle développe également des créations pour l’extérieur et les lieux non-dédiés, qu’elle initie à travers « le Grand Mistère », un festival annuel en Lozère.

Théâtre de Mende

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